La Suisse et l’OTAN lancent une nouvelle phase du processus PARP

Actualités locales, 29.05.2018

Des moyens interopérables et des procédures harmonisées sont indispensables à la coopération avec d’autres Etats, d’où l’importance que revêt la participation de l’armée à l’élaboration et au développement de normes communes. Dans cette lignée, la Suisse participe, depuis 1999, au processus de planification et d’examen (Planning and Review Process – PARP)

L’armée suisse utilise le Partenariat pour la Paix (PPP) et ses instruments afin d’échanger des connaissances et des expériences. Le PPP est l’instrument central d’amélioration des compétences en matière de coopération militaire (interopérabilité). Des moyens interopérables et des procédures harmonisées sont indispensables à la coopération avec d’autres Etats, d’où l’importance que revêt la participation de l’armée à l’élaboration et au développement de normes communes. Dans cette lignée, la Suisse participe, depuis 1999, au processus de planification et d’examen (Planning and Review Process – PARP), instrument du PPP lancé en 1995, qui soutient les Etats associés à développer des forces interopérables, dans le cas de la Suisse par exemple pour sa participation à la KFOR au Kosovo par le biais de la Swisscoy.

Le 29 mai, la Suisse, les Etats alliés ainsi que les pays partenaires invités ont passé en revue les objectifs helvétiques du PARP pour 2018 . Lors de leur entretien, l’OTAN et la Suisse ont fixé des objectifs de coopération non contraignants, en phase avec l’orientation de la politique suisse de sécurité et le processus du développement de l’armée. Le PARP est également un instrument qui promeut la transparence en matière de planification militaire en Europe. A ce titre, la Suisse a sollicité de participer à la réunion les pays alliés, les pays du CPEA, l’AED, l’EMUE, l’Australie et la Nouvelle Zélande.

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